jeudi 4 août 2011
mercredi 13 juillet 2011
mardi 12 juillet 2011
les taux d’accroissement
les taux d’accroissement
Introduction
Le taux d'accroissement de la population est l'augmentation du nombre d'habitants d'un pays en un an, en pourcentage du chiffre de la population au début de l'année. Il indique le nombre de naissances et de décès enregistrés pendant la période et le nombre de personnes qui ont émigré ou immigré. Les taux moyens d'accroissement annuel de la population sur un certain nombre d'années donnent une meilleure indication que les taux relatifs à une année seulement. En 1998, la population mondiale s'élevait au total à plus de 5,8 milliards d'habitants, et son taux d'accroissement moyen était de 1,6 entre 1980 et 1998
lundi 27 juin 2011
samedi 25 juin 2011
Glossaire des termes de télédétection
Terme:
système d'information géographique
Définition:
Un système informatique conçu pour importer, stocker, manipuler et exporter des données référencées géographiquement.
Explication:
Un système d’information géographique est un ensemble intégré d’ordinateur et de logiciel conçu pour importer, stocker, manipuler et exporter des données référencées géographiquement (c.-à-d. de l’information géographique) graphique 1. Toute donnée référencée à une localisation terrestre peut être considérée comme information géographique. Toute information géographique est composée de trois éléments : l’attribut d’intérêt (la mesure ou la classe représentée telles que la température ou le type de forêt), l’endroit auquel se réfère cet attribut et le temps (c.-à-d., le moment ou la période de temps durant laquelle cet attribut est observé). L’on dispose d’une vaste quantité d’information géographique dont la plus grande partie est sous forme numérique, donc tout à fait appropriée au SIG. Les données topographiques, d’imagerie de télédétection et d’analyse de résultats, les cartes papier ou numériques, les mesures de terrain, les données de levés, les photographies, les annotations et même les sons peuvent être importés dans un SIG (graphique 2). Théoriquement, chaque jeu de données peut être considéré comme une couche de données (graphique 3) enregistrées simultanément de sorte que les localisations correspondantes sont superposées. Lors d’une analyse intégrée, des jeux de données multiples sont examinés simultanément, comme une sorte de « carottage » effectué à travers les multiples couches de données à chaque localisation. Un SIG inclut généralement un ou plusieurs modules d’entrée de données, une sorte de logiciel de base de données pour stocker les données, des logiciels de manipulation des données. Les modules d’entrée et de sortie coûteux, tels que les scanneurs grand format, les tables numérisantes et les imprimantes ainsi que les outils spécialisés d’analyse tels que les appareils de photogrammétrie pour l’analyse d’images stéréo sont habituellement installés sur des stations de travail séparées. Les systèmes d’information géographique sont généralement utilisés sur le terrain pour des activités allant de la gestion des ressources naturelles à la planification municipale et régionale. Pour toute requête touchant la localisation géographique, il existe des systèmes d’information géographique qui peuvent procéder à l’analyse. La puissance d’un SIG se mesure à ses capacités d’analyse. Les analyses que peuvent effectuer les SIG peuvent généralement se diviser en trois catégories. L'analyse descriptive intègre les données d’une ou plusieurs sources et présente les conclusions sur les conditions à un moment précis, tel que représentées par les données. Une carte de végétation ou un plan de zonage municipal en sont des exemples. L’analyse prédictive évalue l’information courante et applique les connaissances des processus pour développer un ou plusieurs scénarios quant à l’évolution des conditions dans le futur. À titre d’exemple, la modélisation de la croissance des forêts, la planification des secours en cas d’inondation ou la projection de localisation des futurs développements urbains. L’analyse prescriptive incorporent une connaissance des processus, de même que plusieurs scénarios pouvant inclure les choix découlant des désirs et des besoins d’un on plusieurs intervenants dans un processus de prise de décision. L’analyse prescriptive vise à définir la séquence d’actions pouvant parvenir au meilleur compromis en présence d’options contradictoires répétées. La planification du développement régional et la planification de la gestion des forêts en sont des exemples. La possibilité de traiter rapidement des jeux de données géographiques de grandes dimensions permet d’effectuer de façon économique des analyses répétées pour la mise à jour d’information lorsque des données nouvelles sont disponibles et pour développer des solutions faisant intervenir des compromis complexes utilisant des procédés itératifs arrivant à une solution de manière progressive. À l’époque pré-SIG, la présentation et l’intégration des données géographiques reposait sur le dessin à la main des cartes et des tracés superposés, ce qui rendait la production et la mise à jour des cartes (ou les analyses par itération) trop dispendieuses ou absolument impraticables. Un SIG ne peut rien produire sans données géographiques numériques. Les SIG se sont développés suite à la création et à l’archivage de grandes quantités de données géographiques de même qu’à la mise au point du matériel et des logiciels pour faire l’analyse de ces donnés géographiques. La télédétection est une source importante de données géographiques utilisées par les systèmes d’information géographique et pour cette raison, elle a joué un rôle important dans la popularité des SIG. La plus grande partie de l’information géographique numérique relative à la topographie des terres ou des fonds océaniques, des ressources naturelles et des éléments culturels telles les routes, les infrastructures urbaines sont produites à partir de données de télédétection. Presque toutes les données dérivées de la télédétection sont maintenant disponibles en formats numériques compatibles avec les SIG. Les données d’images numériques peuvent être corrigées et affichées sous forme de cartes images ou être combinées avec d’autres données SIG telles les réseaux routiers, les limites administratives ainsi que des annotations (graphique 4). Les données disponibles avec des coordonnées géographiques tridimensionnelles telles que les surfaces topographiques peuvent être utilisées pour générer des images en perspective qui simulent une surface tridimensionnelle sur laquelle on peut superposer d’autres informations géographiques. Les données peuvent consister en un composé couleur d’images satellitales (graphique 5) ou en des données générées par un SIG (comme par exemple une carte de classification de la végétation superposée à la topographie). L’intégration étroite des logiciels d’analyse des images numériques et des SIG a facilité l’utilisation des données SIG pour améliorer les procédures d’analyse des données de télédétection. Par exemple, un analyste peut utiliser les données de levés de terrain disponibles dans un SIG pour améliorer la précision de la classification d’une image numérique. Les résultats de la classification peuvent ensuite être réinsérés dans un SIG et servir de source de données pour une autre analyse. Alors que le SIG a la capacité d’intégrer de nombreux types de données géographiques, un certain nombre de conditions doivent être satisfaites. Les jeux de données doivent être encodés (géocodées ou géoréférencées) dans le même système de coordonnées géographiques. Le niveau de détail des différents jeux de données doit être suffisant pour l’analyse qui doit être entreprise. La précision spatiale des données à petite échelle est généralement insuffisante pour les analyses à grande échelle. La qualité des attributs doit aussi être compatible avec l’application. Les données qui sont trop vieilles, définies par des catégories trop vagues ou qui n’ont pas été recueillies avec suffisamment de rigueur peuvent produire des résultats dont la précision est insuffisante pour l’application concernée. Enfin, les procédures d’analyse choisies doivent être appropriées afin de générer l’information requise à partir des données disponibles.
Graphique 1:
Composants d’un SIG :
A=intrant,
B=stockage,
C=analyse,
D=extrant.
Composants d’un SIG :
A=intrant,
B=stockage,
C=analyse,
D=extrant.
Graphique 2:
Cartes, données tabulaires, résumé
statistique et image de télédétection
sont des exemples d’information géographique
pouvant être traitées par un SIG.
Cartes, données tabulaires, résumé
statistique et image de télédétection
sont des exemples d’information géographique
pouvant être traitées par un SIG.
Graphique 3:
Les jeux de données stockées dans un SIG
peuvent se concevoir comme une multitude
de couches de données positionnées de
telle sorte que les localisations correspondantes
peuvent être superposées
Les jeux de données stockées dans un SIG
peuvent se concevoir comme une multitude
de couches de données positionnées de
telle sorte que les localisations correspondantes
peuvent être superposées
Graphique 4:
Données SIG apparaissant affichées
sur un fond d’ortho-image.
Données SIG apparaissant affichées
sur un fond d’ortho-image.
Graphique 5:
Composé couleur satellital affiché en
perspective à l’aide d’un modèle
numérique d’altitude.
Composé couleur satellital affiché en
perspective à l’aide d’un modèle
numérique d’altitude.
Glossaire des termes de télédétection
Terme:
modèle numérique de terrain
Définition:
Représentation de la topographie de la Terre dans un format numérique, c'est-à-dire au moyen de coordonnées et de descriptions numériques de l'altitude. Ce terme est équivalent à "Modèle Numérique d'Élévation" (MNE).
Terme:
modèle numérique d'altitude
Définition:
Représentation de la topographie de la Terre dans un format numérique, c'est-à-dire au moyen de coordonnées et de descriptions numériques de l'altitude. Explication:
La disponibilité des MNA (graphique 1) est primordiale pour l'exécution des corrections géométriques et radiométriques du terrain sur des images de télédétection. Ces modèles permettent aussi la création de lignes de contours et de modèles de terrains, procurant ainsi une autre source d'information pour les analyses. Les techniques de cartographie actuelles sont rarement effectuées en considérant seulement les questions planimétriques. La demande pour les MNA s'accroît avec l'utilisation plus commune des SIG et avec l'amélioration de l'information extraite des données d'altitude (cartographie des marécages et des inondations, et gestion forestière). L'incorporation des données d'altitude et de relief est critique pour plusieurs applications, particulièrement si des données radars sont utilisées, pour compenser l'effet de raccourcissement et de repliement, et les effets radiométriques causés par les pentes. Les données d'altitude sont aussi utilisées dans la production d’images satellitales orthorectifiées. Les données d'altitude intégrées à des images sont aussi utilisées pour produire des vues en perspective (graphique 2) qui sont utiles pour le tourisme, la planification de routes, le développement, pour minimiser la visibilité des coupes à blancs à partir des routes et même pour la planification des terrains de golf. Pour les applications militaires, les modèles numériques sont intégrés dans la programmation des missiles pour les guider au-dessus du terrain ainsi que dans certains jeux et simulateurs de vol où on représente graphiquement la surface de la Terre.
Graphique 1:
Un modèle numérique d’élévation du Canada avec les couleurs codées pour les élévations.
Un modèle numérique d’élévation du Canada avec les couleurs codées pour les élévations.
Graphique 2:
L’image montrée ici utilise un modèle numérique d’élévation et une image satellitaire du capteur TM de Landsat, pour produire une vue oblique du terrain. Ce type de représentation nous est plus familière qu’une vue en plan de la région
L’image montrée ici utilise un modèle numérique d’élévation et une image satellitaire du capteur TM de Landsat, pour produire une vue oblique du terrain. Ce type de représentation nous est plus familière qu’une vue en plan de la région
Terme:
réseau de triangles irréguliers
Définition:
Un modèle numérique de la surface de la Terre fait de triangles adjacents, non-chevauchants. Les triangles sont calculés à partir de points distribués irrégulièrement et sont identifiés d’après un système de coordonnées x,y,z.
Explication:
L’information sur la topologie est stockée en tant que relation entre triangles adjacents. Les surfaces et les modèles de terrain peuvent ensuite être générés de façon efficace en utilisant les points, lignes et polygones. On peut aussi incorporer d’autres types de données géoréférencées dans la structure telles que : cartes de contours, données de stéréorestitution, données de ligne de changement ainsi que des réseaux de MNE et de MNT
Terme:
données spatiales Définition:
Données se référant à une localité (qui peut être un endroit spécifique de la surface de la Terre ou un endroit relatif à un point arbitraire).
données spatiales Définition:
Données se référant à une localité (qui peut être un endroit spécifique de la surface de la Terre ou un endroit relatif à un point arbitraire).
jeudi 16 juin 2011
vendredi 10 juin 2011
MapInfo Professional v9
MapInfo Professional v9
MapInfo Professional est une application de cartographie puissante Microsoft Windows qui permet aux analystes d'affaires et les professionnels des SIG de visualiser facilement les relations entre les données et la géographie. Avec MapInfo Professional, vous pouvez effectuer sophistiqués et analyse détaillée des données en exploitant la puissance de l'emplacement. Y compris l'emplacement de votre prise de décision et aux opérations quotidiennes peuvent vous aider à augmenter leurs revenus, réduire les coûts, l'efficacité stimuler et améliorer les services. Utiliser MapInfo Professional à:
* Créer des cartes très détaillées pour améliorer les présentations et aide à la décision
* Modèles de révéler et de tendances dans vos données qui seraient autrement impossible de voir dans des feuilles de calcul et graphiques
* Effectuer des analyses sophistiquées et des données approfondies
démographiques de la clientèle * Comprendre et marché
* Gérer les actifs géographiquement, comme les magasins, les gens et les biens
TELECHARGEMENT
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samedi 21 mai 2011
dimanche 1 mai 2011
samedi 30 avril 2011
jeudi 28 avril 2011
mardi 26 avril 2011
popilation et organisation de les espacse en Algérie
population et organisation de les espaces en Algérie
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samedi 23 avril 2011
jeudi 21 avril 2011
URBANISME DES VILLES ET URBANISME DES SYSTEMES D’INFORMATION
URBANISME DES VILLES ET URBANISME DES SYSTEMES D’INFORMATION
Le modèle de l’urbanisme des villes a été repris dans le domaine des systèmes d’information
devant la similitude de la problématique de départ : comment refaire, moderniser, comment profiter
des avancées technologiques, sans faire table rase du passé, dans des limites de coûts maîtrisés.
Suite à une étude plus approfondie de l’urbanisme des villes, il apparaît que les
ressemblances entre les deux domaines sont encore plus grandes : contexte, enjeux, acteurs,
métiers, …
Etudions donc les différents courants de l’urbanisme des villes, et lorsque, 0les similitudes
relevées, nous aurons justifié la reprise de cette métaphore dans les SI, alors nous pourrons
considérer que les leçons tirées de plus d’un siècle de pratique de l’urbanisme des villes pourront
servir les systèmes d’information
devant la similitude de la problématique de départ : comment refaire, moderniser, comment profiter
des avancées technologiques, sans faire table rase du passé, dans des limites de coûts maîtrisés.
Suite à une étude plus approfondie de l’urbanisme des villes, il apparaît que les
ressemblances entre les deux domaines sont encore plus grandes : contexte, enjeux, acteurs,
métiers, …
Etudions donc les différents courants de l’urbanisme des villes, et lorsque, 0les similitudes
relevées, nous aurons justifié la reprise de cette métaphore dans les SI, alors nous pourrons
considérer que les leçons tirées de plus d’un siècle de pratique de l’urbanisme des villes pourront
servir les systèmes d’information
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Le Ksar de Tafilelt dans la vallée du M’Zab : Une expérience urbaine entre tradition et modernité.
Le Ksar de Tafilelt dans la vallée du M’Zab : Une expérience urbaine entre tradition et modernité
Face à la crise nationale en matière d’architecture et d’urbanisme, une expérience assez particulière dans la vallée du M’Zab mérite d’être étudiée, il s’agit d’une nouvelle ville, dénommée le ksar de Tafilelt, réalisée au sud de Beni-Isguen. Ses initiateurs, réunis autour d’une association non lucrative ‘’Amidoul’’ se sont appuyés pour la réussite du projet, sur la mise en valeur de l’héritage patrimonial matériel et immatériel des ksour anciens du M’Zab aux côtés des travaux de recherche sur l’architecture bioclimatique, tout en l’adaptant aux commodités de la vie contemporaine. Les concepteurs de Tafilelt ont ainsi procédé en la réinterprétation des principes urbanistiques et architecturaux des maisons Mozabites traditionnelles, donné le vrai sens à la notion de concertation et d’entraide à travers la touiza, la redéfinition des savoirs faire et la réinterprétation d’éléments symboliques des anciens ksour, en mettant à contribution les institutions sociales traditionnelles. Tafilelt est ainsi une nouvelle ville qui s’inscrit dans une optique sociale, économique écologique et patrimoniale, digne des valeurs actuelles de développement durable
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URBANISME ET ANALYSE STATISTIQUE DU BATI DE LA VILLE D’ALGER
URBANISME ET ANALYSE STATISTIQUE DU BATI DE LA VILLE D’ALGER
INTRODUCTION
La ville est définie comme étant l’expression diachronique de la civilisation du peuple qui
l’habite. Elle s’adapte aux transformations du mode de vie et du dynamisme social, elle passe
pour être le dépositaire de l’histoire du peuple. Alger n’échappe pas au fait d’être le signe
d’un rapport direct et indirect entre l’homme et la société tout au long de l’histoire
comprenant le passé, le présent et le futur.
La lecture de la croissance de la ville d’Alger se résumait à l’époque ottomane à l’ancienne
ville la Médina, renfermée sur elle-même, et dont la relation avec les fahs limitrophes se
faisait par des routes ponctuées aux niveaux des remparts par des portes qui sont au nombre
de cinq: Bab El B’har, Bab El Djazira, Bab El Djedi, Bab Azzoun et Bab El Oued. L’image
La ville est définie comme étant l’expression diachronique de la civilisation du peuple qui
l’habite. Elle s’adapte aux transformations du mode de vie et du dynamisme social, elle passe
pour être le dépositaire de l’histoire du peuple. Alger n’échappe pas au fait d’être le signe
d’un rapport direct et indirect entre l’homme et la société tout au long de l’histoire
comprenant le passé, le présent et le futur.
La lecture de la croissance de la ville d’Alger se résumait à l’époque ottomane à l’ancienne
ville la Médina, renfermée sur elle-même, et dont la relation avec les fahs limitrophes se
faisait par des routes ponctuées aux niveaux des remparts par des portes qui sont au nombre
de cinq: Bab El B’har, Bab El Djazira, Bab El Djedi, Bab Azzoun et Bab El Oued. L’image
actuelle de la ville est l’aboutissement d’un long processus, résultant de la combinaison de
plusieurs facteurs et paramètres qui sont d’ordre démographique, topographique et
plusieurs facteurs et paramètres qui sont d’ordre démographique, topographique et
géographique du site. Son développement s’est opéré en plusieurs entités autonomes ayant
chacune sa logique de formation, mais articulées entre elles formant un ensemble permettant
chacune sa logique de formation, mais articulées entre elles formant un ensemble permettant
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les villes nouvelle
les villes nouvelle
Une ville nouvelle est une ville, ou un ensemble de communes, qui naît généralement d’une volonté politique, et qui se construit en peu de temps sur un emplacement auparavant peu ou pas habité.
Ces projets sont marqués par les réflexions sur la cité idéale à une époque donnée. Elles adoptent souvent un tracé régulier (en damier, en étoile,...); les bâtiments publics, l'organisation des services et parfois les contraintes architecturales imposées aux constructeurs dénotent un programme social ou intellectuel. Le désir d'ordre s'inscrit dans le réel, dans la société humaine; dans le tissu urbain s'incarnent alors des visées idéologiques, voire religieuses ou mystiques.
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mardi 19 avril 2011
Questions-Réponses Urbanisme
Questions-Réponses Urbanisme
. ? 1La décision de l’administration de différer sa décision sur une requête de permis de construire s’appelle
Le sursis à statuer.
. 2A quel type de servitudes s’attachent les mesures de protection des sites et monuments historiques ?
Les servitudes de protection des fouilles archéologiques et celles concernant la sauvegarde des sites et monuments historiques classés (règle des abords).
3. Citez les objectifs possibles des servitudes légales en urbanisme ?
Les exigences de sécurité.
Les besoins d’hygiène et de confort.
La sauvegarde, la protection et le respect des sites et ressources.
4. Le permis de construire est un ?
Outil de contrôle préalable.
Une autorisation d’urbanisme.
Les servitudes de protection des fouilles archéologiques et celles concernant la sauvegarde des sites et monuments historiques classés (règle des abords).
3. Citez les objectifs possibles des servitudes légales en urbanisme ?
Les exigences de sécurité.
Les besoins d’hygiène et de confort.
La sauvegarde, la protection et le respect des sites et ressources.
4. Le permis de construire est un ?
Outil de contrôle préalable.
Une autorisation d’urbanisme.
5. Dans les secteurs d’urbanisation future, définis en prévision de l’urbanisation à long terme, le C.O.S doit être avant l’échéance de l’urbanisation ?
Très faible, dit dissuasif.
6. Les zones homogènes sont aussi appelées :
Réglementaires.
7. Par quelle disposition peut on concilier une grande hauteur des bâtiments et un bon ensoleillement des rues et des façades ?
Disposition en gradins.
8. Quel est l’instrument d’urbanisme qui définit l’espace public et son utilisation ?
P.O.S.
Très faible, dit dissuasif.
6. Les zones homogènes sont aussi appelées :
Réglementaires.
7. Par quelle disposition peut on concilier une grande hauteur des bâtiments et un bon ensoleillement des rues et des façades ?
Disposition en gradins.
8. Quel est l’instrument d’urbanisme qui définit l’espace public et son utilisation ?
P.O.S.
. 9Quels sont les avantages de la préemption ?
Facilite l’acquisition de bonnes affaires foncières et immobilières.
Constitue un véritable observatoire du marché foncier local.
Elle est un moyen de pression sur les prix et la spéculation foncière dans les secteurs urbains convoités.
10. Quelle est la différence entre les termes « Urbanisme » et « Aménagement » ?
L’objet de l’urbanisme est l’organisation spatiale des villes, ses instruments techniques et juridiques (PDAU-POS) ont des effets directs sur l’espace que ceux des instruments d’aménagement des territoires. Alors que l’aménagement du territoire est à l’échelle de la planification stratégique, il décide des pôles et de l’urbanisation future.
11. La durée de l’enquête publique pour un P.O.S est de ?
60 jours.
12. La durée de l’enquête publique pour un P.D.A.U est de ?
45 jours.
13. Citez les instruments d’aménagement du territoire en vigueur en Algérie ?
SNAT : schéma national d’aménagement du territoire. Il est à l’échelle du territoire national (initié par l’état central).
SRAT : schéma régional d’aménagement du territoire. Il est à l’échelle inter-wilayale (initié par l’état central).
PAW : plans d’aménagement de wilaya. A l’échelle de la wilaya (initié par la wilaya).
14. Classez les secteurs d’urbanisation d’un PDAU par rapport à l’ampleur probable du phénomène spéculatif pouvant s’y exercer ?
Secteurs Urbanisés « U ».
Secteurs à Urbaniser « AU ».
Secteurs d’Urbanisation Future « UF ».
Secteurs non Urbanisables « NU ».
15. Quelles sont les raisons possibles de mise en place de secteurs non urbanisables ?
Zones protégées (hautes potentialités agricoles, exploitation minières).
Zones à risque (secteurs inondables, terrains instables).
16. Donnez des exemples de servitudes légales en urbanisme ?
Servitudes de protection du littoral.
Servitudes de protection des fouilles archéologiques.
Servitudes de sécurité routière.
Servitude de transport et de distribution de l’énergie.
Servitudes militaires.
17. Quelles sont les sources possibles de financement des voies urbaines ? classez ces voies selon leur source de financement ?
Etat : classe A.
Commune : classe B.
Investisseur : classe C.
18. Est il strictement interdit de construire dans les terres à haute potentialité agricoles ? justifiez !
Non, possibilité de construire des bâtiments nécessaires à l’exploitation agricole.
19. Quelles sont les deux formes que peut prendre l’indemnisation d’un propriétaire exproprié ?
Foncière.
Financière.
20. L’effet d’annonce sur les prix du sol pet être provoqué par ?
La spéculation.
21. L’acte d’expropriation peut être assimilé à ?
Une vente forcée.
22. Un instrument d’urbanisme s compose exclusivement de ?
Ensemble de documents graphiques.
Documents écrits.
Le règlement.
23. Le coefficient d’occupation du sol C.O.S est indicateur de
Facilite l’acquisition de bonnes affaires foncières et immobilières.
Constitue un véritable observatoire du marché foncier local.
Elle est un moyen de pression sur les prix et la spéculation foncière dans les secteurs urbains convoités.
10. Quelle est la différence entre les termes « Urbanisme » et « Aménagement » ?
L’objet de l’urbanisme est l’organisation spatiale des villes, ses instruments techniques et juridiques (PDAU-POS) ont des effets directs sur l’espace que ceux des instruments d’aménagement des territoires. Alors que l’aménagement du territoire est à l’échelle de la planification stratégique, il décide des pôles et de l’urbanisation future.
11. La durée de l’enquête publique pour un P.O.S est de ?
60 jours.
12. La durée de l’enquête publique pour un P.D.A.U est de ?
45 jours.
13. Citez les instruments d’aménagement du territoire en vigueur en Algérie ?
SNAT : schéma national d’aménagement du territoire. Il est à l’échelle du territoire national (initié par l’état central).
SRAT : schéma régional d’aménagement du territoire. Il est à l’échelle inter-wilayale (initié par l’état central).
PAW : plans d’aménagement de wilaya. A l’échelle de la wilaya (initié par la wilaya).
14. Classez les secteurs d’urbanisation d’un PDAU par rapport à l’ampleur probable du phénomène spéculatif pouvant s’y exercer ?
Secteurs Urbanisés « U ».
Secteurs à Urbaniser « AU ».
Secteurs d’Urbanisation Future « UF ».
Secteurs non Urbanisables « NU ».
15. Quelles sont les raisons possibles de mise en place de secteurs non urbanisables ?
Zones protégées (hautes potentialités agricoles, exploitation minières).
Zones à risque (secteurs inondables, terrains instables).
16. Donnez des exemples de servitudes légales en urbanisme ?
Servitudes de protection du littoral.
Servitudes de protection des fouilles archéologiques.
Servitudes de sécurité routière.
Servitude de transport et de distribution de l’énergie.
Servitudes militaires.
17. Quelles sont les sources possibles de financement des voies urbaines ? classez ces voies selon leur source de financement ?
Etat : classe A.
Commune : classe B.
Investisseur : classe C.
18. Est il strictement interdit de construire dans les terres à haute potentialité agricoles ? justifiez !
Non, possibilité de construire des bâtiments nécessaires à l’exploitation agricole.
19. Quelles sont les deux formes que peut prendre l’indemnisation d’un propriétaire exproprié ?
Foncière.
Financière.
20. L’effet d’annonce sur les prix du sol pet être provoqué par ?
La spéculation.
21. L’acte d’expropriation peut être assimilé à ?
Une vente forcée.
22. Un instrument d’urbanisme s compose exclusivement de ?
Ensemble de documents graphiques.
Documents écrits.
Le règlement.
23. Le coefficient d’occupation du sol C.O.S est indicateur de
La capacité d’accueil autorisée pour les assiettes foncières
.
. 24Que signifie le sigle S.H.O.N ?
Surface – Hors – Œuvre – Nette.
Surface – Hors – Œuvre – Nette.
. 25Quelles sont les conditions préalables de l’exercice du droit de préemption ?
Existence d’un instrument d’urbanisme C.O.S.
L’état doit exprimer l’objet pour lequel il applique de droit.
Volonté de vente du propriétaire.
Existence d’un instrument d’urbanisme C.O.S.
L’état doit exprimer l’objet pour lequel il applique de droit.
Volonté de vente du propriétaire.
. 26Quels sont les principaux avantages du remembrement urbain ?
Restructuration du parcellaire pour l’adapter aux voies.
Réduire les coûts de l’expropriation.
27. La densité de l’espace urbain peut être exprimée par deux unités qui sont ?
COS
CES
28. Le point de rencontre de plusieurs voies mécaniques est appelé ?
Carrefour, Giratoire.
Restructuration du parcellaire pour l’adapter aux voies.
Réduire les coûts de l’expropriation.
27. La densité de l’espace urbain peut être exprimée par deux unités qui sont ?
COS
CES
28. Le point de rencontre de plusieurs voies mécaniques est appelé ?
Carrefour, Giratoire.
29. La condition incontournable de tout acte d’expropriation ?
l’intérêt général (utilité publique).
30. Quelle est la principale règle de protection des sites et monuments historiques ?
la règle des abords.
31. Quels sont les cas d’application d’un COS faible ou nul ?
Protection des richesses (terres agricoles, ressources naturelles).
Prévision urbanistique : sauvegarde des terrains en vue de leur urbanisation future (freiner ou ajourner l’urbanisation).
Prévision des risques (éviter l’urbanisation des zones à risque).
l’intérêt général (utilité publique).
30. Quelle est la principale règle de protection des sites et monuments historiques ?
la règle des abords.
31. Quels sont les cas d’application d’un COS faible ou nul ?
Protection des richesses (terres agricoles, ressources naturelles).
Prévision urbanistique : sauvegarde des terrains en vue de leur urbanisation future (freiner ou ajourner l’urbanisation).
Prévision des risques (éviter l’urbanisation des zones à risque).
Zones de servitudes.
. 32Quelles formes peut prendre l’incitation à l’urbanisation ?
Mesures fiscales (baisse des taxes, exonérations, subventions).
Mesures foncières (offre foncière, facilité d’accès aux terrains).
Mesures urbanistiques ou réglementaires (droit de construire : COS et CES élevés).
33. Décrivez en quelques lignes l’évolution historique du droit d’expropriation ?
Expropriation pour raisons esthétique ou pour des travaux d’art urbain.
Expropriation pour travaux de voirie (alignement).
Expropriation pour des raisons d’hygiène et de salubrité (expropriation par zone).
Expropriation pour cause d’utilité publique.
Mesures fiscales (baisse des taxes, exonérations, subventions).
Mesures foncières (offre foncière, facilité d’accès aux terrains).
Mesures urbanistiques ou réglementaires (droit de construire : COS et CES élevés).
33. Décrivez en quelques lignes l’évolution historique du droit d’expropriation ?
Expropriation pour raisons esthétique ou pour des travaux d’art urbain.
Expropriation pour travaux de voirie (alignement).
Expropriation pour des raisons d’hygiène et de salubrité (expropriation par zone).
Expropriation pour cause d’utilité publique.
. 34Quelles sont les principales différences entre la préemption et l’expropriation ?
Nécessité d’une cause d’utilité publique pour l’expropriation et non pour la préemption dont le champ d’application peut être plus large.
La procédure de préemption n’est pas obligatoirement réduite à son terme (rétraction).
L’expropriation peut être assimilée à une vente forcée alors que la préemption ne peut être initiée que si le propriétaire a émis la volonté de vendre.
35. Qu’est ce que l’urbanisme de régularisation ?
l’urbanisme de régularisation désigne l’urbanisme du X|X è siècle dont l’objectif a été l’adaptation de l’espace urbain aux nouveaux besoins de circulation et qui s’est préoccupé des problèmes de voirie (ex : Urbanisme Haussmannien).
36. Quels sont les principaux problèmes posés par les secteurs d’urbanisation future ?
Réalisation des équipements d’intérêt général.
Réalisation des infrastructures nécessaires.
Acquisition des terrains nécessaires.
Développement de la spéculation foncière.
Difficulté de l’urbanisation sur le long terme (facteur temps pouvant fausser les prévisions).
37. les terrains mobilisés par une collectivité locale pour la réalisation de projets d’intérêt général peuvent provenir de ?
Achat ou concession.
Son propre patrimoine foncier.
Préemption.
Expropriation.
Nécessité d’une cause d’utilité publique pour l’expropriation et non pour la préemption dont le champ d’application peut être plus large.
La procédure de préemption n’est pas obligatoirement réduite à son terme (rétraction).
L’expropriation peut être assimilée à une vente forcée alors que la préemption ne peut être initiée que si le propriétaire a émis la volonté de vendre.
35. Qu’est ce que l’urbanisme de régularisation ?
l’urbanisme de régularisation désigne l’urbanisme du X|X è siècle dont l’objectif a été l’adaptation de l’espace urbain aux nouveaux besoins de circulation et qui s’est préoccupé des problèmes de voirie (ex : Urbanisme Haussmannien).
36. Quels sont les principaux problèmes posés par les secteurs d’urbanisation future ?
Réalisation des équipements d’intérêt général.
Réalisation des infrastructures nécessaires.
Acquisition des terrains nécessaires.
Développement de la spéculation foncière.
Difficulté de l’urbanisation sur le long terme (facteur temps pouvant fausser les prévisions).
37. les terrains mobilisés par une collectivité locale pour la réalisation de projets d’intérêt général peuvent provenir de ?
Achat ou concession.
Son propre patrimoine foncier.
Préemption.
Expropriation.
. 38Quelle est la différence sur le plan juridique entre les instruments d’aménagement du territoire et les instruments d’urbanisme
Les instruments d’aménagement du territoire ne sont pas opposables aux tiers.
Les instruments d’urbanisme sont opposables aux tiers.
39. Quel est l’intérêt de l’application d’un COS différencié ?
Favoriser un type d’activité par rapport à un autre.
Accorder un droit de construire plus élevé pour certaines parcelles.
Eviter la rigidité dans l’application du COS.
40. Dans quels cas le PDAU peut il être révisé ?
Dans le cas d’un saturation avant terme des secteurs d’urbanisation prévus et le dépassement des objectifs prévus par le bouleversement de la situation de la commune.
Dans le cas d’une adaptation du PDAU afin qu’il intègre de nouvelles servitudes ou des projets d’intérêt national ou général.
39. Quel est l’intérêt de l’application d’un COS différencié ?
Favoriser un type d’activité par rapport à un autre.
Accorder un droit de construire plus élevé pour certaines parcelles.
Eviter la rigidité dans l’application du COS.
40. Dans quels cas le PDAU peut il être révisé ?
Dans le cas d’un saturation avant terme des secteurs d’urbanisation prévus et le dépassement des objectifs prévus par le bouleversement de la situation de la commune.
Dans le cas d’une adaptation du PDAU afin qu’il intègre de nouvelles servitudes ou des projets d’intérêt national ou général.
. 41Dans quels cas le POS peut il être révisé ?
Si les objectifs assignés n’ont pas été atteints (réalisation uniquement du tiers des prévisions).
Si la vétusté et la ruine accélérée du cadre bâti existant l’imposent.
Si des phénomènes naturels imprévisibles ont détérioré gravement le cadre bâti.
Si, après cinq ans la majorité des propriétaires totalisant au moins ka moitié des droits de construire définis par le POS en vigueur de demande dans le but d’assouplir certaines contraintes.
Si la nécessité de créer un projet d’intérêt général le requiert.
42. Quel est le principal problème rencontré pendant l’urbanisation des secteurs urbanisés et l’urbanisation future ?
La spéculation foncière.
43. Quel est le rôle de la carte de flux ?
Visualiser le volume de circulation dans les voies urbaines.
Identifier les points de conflit.
Si les objectifs assignés n’ont pas été atteints (réalisation uniquement du tiers des prévisions).
Si la vétusté et la ruine accélérée du cadre bâti existant l’imposent.
Si des phénomènes naturels imprévisibles ont détérioré gravement le cadre bâti.
Si, après cinq ans la majorité des propriétaires totalisant au moins ka moitié des droits de construire définis par le POS en vigueur de demande dans le but d’assouplir certaines contraintes.
Si la nécessité de créer un projet d’intérêt général le requiert.
42. Quel est le principal problème rencontré pendant l’urbanisation des secteurs urbanisés et l’urbanisation future ?
La spéculation foncière.
43. Quel est le rôle de la carte de flux ?
Visualiser le volume de circulation dans les voies urbaines.
Identifier les points de conflit.
. 44Quelle est la largeur minimale admise pour une voie mécanique ?
8 mètres.
8 mètres.
. 45Citez les différents aspects sur lesquels peut porter un règlement d’urbanisme ?
Les espaces publiques.
La forme urbaine.
La densité, l’occupation du sol.
Les activités.
46. Le type d’intervention visant l’amélioration des caractéristiques de la voirie urbaine s’appelle ?
La restructuration.
47. l’établissement du POS est conditionné par ?
L’existence du PDAU.
Les espaces publiques.
La forme urbaine.
La densité, l’occupation du sol.
Les activités.
46. Le type d’intervention visant l’amélioration des caractéristiques de la voirie urbaine s’appelle ?
La restructuration.
47. l’établissement du POS est conditionné par ?
L’existence du PDAU.
samedi 16 avril 2011
Espace vert
Espace vert
Le terme d'espace vert désigne, en urbanisme, tout espace d'agrément planté de fleurs, d'arbres ou engazonné
Le gazon est un élément important dans la plupart des espaces verts, facteur d'appauvrissement en biodiversité
Définition
Dans les années soixante l'urbanisme est en plein expansion , les jardins sont alors désignés par "espaces verts" car ces sites sont peints en vert sur les plans d'architectes.
Pour être qualifié d'espace vert, un site doit répondre à plusieurs critères informellement définis, mais qui semblent consensuels. Par exemple, il doit être assez grand, être ouvert au public et facilement accessible (un rond-point fleuri n'est pas un espace vert) à pied et généralement en vélo mais non aux engins motorisés. Il est « bien » entretenu et ne doit pas présenter de dangers pour les usagers, enfants en particulier.
Le mot sous-entend une situation en milieu urbain ou péri-urbain, en tout cas en milieu construit. Il peut se trouver au milieu d'une ZAC (Zone d'Aménagement Concerté) ou d'une zone industrielle et peut dans certains cas être une mesure compensatoire liée à un permis de construire
Pour être qualifié d'espace vert, un site doit répondre à plusieurs critères informellement définis, mais qui semblent consensuels. Par exemple, il doit être assez grand, être ouvert au public et facilement accessible (un rond-point fleuri n'est pas un espace vert) à pied et généralement en vélo mais non aux engins motorisés. Il est « bien » entretenu et ne doit pas présenter de dangers pour les usagers, enfants en particulier.
Le mot sous-entend une situation en milieu urbain ou péri-urbain, en tout cas en milieu construit. Il peut se trouver au milieu d'une ZAC (Zone d'Aménagement Concerté) ou d'une zone industrielle et peut dans certains cas être une mesure compensatoire liée à un permis de construire
Vocations
L'installation d'un espace vert se fait de plus en plus dans un milieu qui en manque pour des raisons écologiques et d'agrément, et peut être décidée autant par les pouvoirs publics (mairie ou communauté de communes le plus souvent) ou par un promoteur immobilier a des fins écologiques et promotionnelles, ou compensatoires obligatoires, ce qui se fait de plus en plus.
La vocation sociale et écologique des espaces verts tend à se développer en recherchant plus de naturalité avec la gestion écologique et donc différenciée, la conservation de bois mort et d'arbres sénescents, la création de cheminements et de plans d'eau moins artificiels, l'abandon des pesticides, l'usage d'essences et d'espèces plus locales et moins horticoles, et une plus grande tolérance à l'égard de la flore sauvage et spontanée, etc.
Certains espaces verts contiennent des arboretums et/ou cherchent à développer une vocation pédagogique, avec par exemple des chronoxyles ou des fermes pédagogiques.
La vocation sociale et écologique des espaces verts tend à se développer en recherchant plus de naturalité avec la gestion écologique et donc différenciée, la conservation de bois mort et d'arbres sénescents, la création de cheminements et de plans d'eau moins artificiels, l'abandon des pesticides, l'usage d'essences et d'espèces plus locales et moins horticoles, et une plus grande tolérance à l'égard de la flore sauvage et spontanée, etc.
Certains espaces verts contiennent des arboretums et/ou cherchent à développer une vocation pédagogique, avec par exemple des chronoxyles ou des fermes pédagogiques.
Échelle cartographie ie
Échelle cartographie
Échelle (cartographie), en cartographie, rapport existant entre la distance qui sépare deux points à la surface de la terre et sa représentation sur une carte. L'échelle est indiquée des trois façons suivantes sur les cartes : d'abord comme rapport ou fraction, ainsi la valeur 1:50 000 ou 1/50 000 signifie qu'une unité de mesure sur la carte correspond à 50 000 fois la même unité à la surface de la terre ; ensuite comme échelle graphique, habituellement sous la forme d'une ligne droite sur laquelle sont précisées les distances (la plupart du temps en kilomètres ou en miles) ; enfin, l'échelle peut être indiquée par une phrase, du type « 1 cm représente 100 km » (c'est-à-dire 1 cm sur la carte représente 100 km à la surface de la terre). Plus l'échelle d'une carte est élevée, plus elle s'approche de la taille réelle de la partie représentée. En effet, comme toute fraction, une échelle est d'autant plus petite que son dénominateur est grand. Les cartes à petite échelle correspondent donc à de grandes superficies terrestres et elles sont moins détaillées que les cartes à grande échelle.
jeudi 14 avril 2011
Le modèle de la ville méditerranéenne : mythe et réalité
Le modèle de la ville méditerranéenne : mythe et réalité
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l’espace urbain.
l’espace urbain
Définition.
Selon Alberti L.B, l’espace urbain est un espace qui prend en considération et en charge le cadre de vie des gens, il doit répondre au trois registres hiérarchisés et indissociables.
2 Paramètres de l’espace urbain.
L. B. Alberti avait le mérite d’avoir fait connaître l’œuvre de Vitruve et de ses dix
livres, ce fut pour lui une base pour son traité qui se composait des trois registres
« Necessitas, Commoditas, Voluptas » :
•?Un registre qui traite le nécessaire dans la construction.
•?Un registre qui prend en charge la demande du client, appelé programme et concertation.
•?Un registre qui consiste à appliquer les règles de la beauté.
Ainsi, le champ épistémologique de l’espace urbain se dessinait et devenait une
préoccupation des producteurs et consommateurs de celui-ci.
3 Définition du cadre de vie.
Le cadre de vie se définit selon les expressions des individus et leur satisfaction environnementale, il se définit aussi selon la capacité de mieux répondre au désir d’une meilleure qualité de vie
Selon Alberti L.B, l’espace urbain est un espace qui prend en considération et en charge le cadre de vie des gens, il doit répondre au trois registres hiérarchisés et indissociables.
2 Paramètres de l’espace urbain.
L. B. Alberti avait le mérite d’avoir fait connaître l’œuvre de Vitruve et de ses dix
livres, ce fut pour lui une base pour son traité qui se composait des trois registres
« Necessitas, Commoditas, Voluptas » :
•?Un registre qui traite le nécessaire dans la construction.
•?Un registre qui prend en charge la demande du client, appelé programme et concertation.
•?Un registre qui consiste à appliquer les règles de la beauté.
Ainsi, le champ épistémologique de l’espace urbain se dessinait et devenait une
préoccupation des producteurs et consommateurs de celui-ci.
3 Définition du cadre de vie.
Le cadre de vie se définit selon les expressions des individus et leur satisfaction environnementale, il se définit aussi selon la capacité de mieux répondre au désir d’une meilleure qualité de vie
mercredi 13 avril 2011
samedi 9 avril 2011
URBANISATION ET LITTORALISATION : NOUVELLES DYNAMIQUES A L’HEURE DE LA MONDIALISATION
URBANISATION ET LITTORALISATION : NOUVELLES DYNAMIQUES A L’HEURE DE LA MONDIALISATION
Problématique
Les hommes se concentrent-ils de plus en plus dans les métropoles littorales ?
Les paysages urbains en sortent-ils bouleversés ? Cette pression humaine fragilise-t-elle l’environnement urbain et les espaces côtiers?s
Les hommes se concentrent-ils de plus en plus dans les métropoles littorales ?
Les paysages urbains en sortent-ils bouleversés ? Cette pression humaine fragilise-t-elle l’environnement urbain et les espaces côtiers?s
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